Sur son visage, je distingue la tendresse…
Quelques fois aussi, quelques notes de tristesse…
Je lis les épreuves, les instants, les victoires, les défaites…
Les jours de pluie, d’insomnie, de joie et de fête…
Dans le sillon de ses immenses ridules…
Le temps doucement, s’écoule au ralenti…
Au bruit sourd, des aiguilles d’une pendule…
Qui ont inlassablement fait le tour d’une vie…
Elle a le cœur, au bord des yeux…
Parfois les yeux au bord des larmes…
Quand elle n’a plus que cette seule et même arme…
Dans son inévitable et long combat silencieux…
Si parfois, elle ne trouve plus ses mots…
Seul un plongeon suffit, dans son regard, son miroir…
Il vous raconte et vous insuffle une multitude d’histoires…
D’un passé lointain, dur mais tellement bon et beau…
Les cheveux recouverts de neige…
Arrive ainsi l’hiver et la blancheur face à sa vie…
Les manteaux blancs et les manèges…
Dans sa mémoire, lui font un sublime cortège…
Dans ses pensées, tournent et retournent, chante une ritournelle…
Que la vie est ainsi, un peu triste, mais toujours belle…
Valses d’un temps encore présent, au soleil…
Dans le secret, animant chacun de ses sommeils…
Elle a une âme, un grand et vaillant cœur…
Qui peut être écrit toujours le même refrain…
Mais simplement en lui prenant la main…
Ne sens tu pas, la magie, la douceur, la chaleur…
Je suis riche de ses indénombrables sourires…
Quand elle me les donne sans aucune raison…
J’en ai appris une plénitude de choses, de véritables leçons…
Au livre de ses contes, à travers ses souvenirs…
Regarde donc un simple instant…
dans la beauté de son visage…
Ce que le temps prend et apprend…
Ce qu’il faut pour devenir éternellement sage…
Regarde et lis donc encore une fois sur son visage…
Même si la fougue et la jeunesse se sont enfuient…
Le temps, qui va et vient, le corps qui, avance à travers les âges…
Lis à jamais l’amour, la passion, la force et la vie…
C’est peut être le dernier rivage…
Avant un tel adage, un si long voyage…
C’est un privilège tendre et doux…
Que je lui tendrais et tiendrais la main jusqu’au bout…
Quelques fois aussi, quelques notes de tristesse…
Je lis les épreuves, les instants, les victoires, les défaites…
Les jours de pluie, d’insomnie, de joie et de fête…
Dans le sillon de ses immenses ridules…
Le temps doucement, s’écoule au ralenti…
Au bruit sourd, des aiguilles d’une pendule…
Qui ont inlassablement fait le tour d’une vie…
Elle a le cœur, au bord des yeux…
Parfois les yeux au bord des larmes…
Quand elle n’a plus que cette seule et même arme…
Dans son inévitable et long combat silencieux…
Si parfois, elle ne trouve plus ses mots…
Seul un plongeon suffit, dans son regard, son miroir…
Il vous raconte et vous insuffle une multitude d’histoires…
D’un passé lointain, dur mais tellement bon et beau…
Les cheveux recouverts de neige…
Arrive ainsi l’hiver et la blancheur face à sa vie…
Les manteaux blancs et les manèges…
Dans sa mémoire, lui font un sublime cortège…
Dans ses pensées, tournent et retournent, chante une ritournelle…
Que la vie est ainsi, un peu triste, mais toujours belle…
Valses d’un temps encore présent, au soleil…
Dans le secret, animant chacun de ses sommeils…
Elle a une âme, un grand et vaillant cœur…
Qui peut être écrit toujours le même refrain…
Mais simplement en lui prenant la main…
Ne sens tu pas, la magie, la douceur, la chaleur…
Je suis riche de ses indénombrables sourires…
Quand elle me les donne sans aucune raison…
J’en ai appris une plénitude de choses, de véritables leçons…
Au livre de ses contes, à travers ses souvenirs…
Regarde donc un simple instant…
dans la beauté de son visage…
Ce que le temps prend et apprend…
Ce qu’il faut pour devenir éternellement sage…
Regarde et lis donc encore une fois sur son visage…
Même si la fougue et la jeunesse se sont enfuient…
Le temps, qui va et vient, le corps qui, avance à travers les âges…
Lis à jamais l’amour, la passion, la force et la vie…
C’est peut être le dernier rivage…
Avant un tel adage, un si long voyage…
C’est un privilège tendre et doux…
Que je lui tendrais et tiendrais la main jusqu’au bout…